28 juin 2021, Copenhague. Huitièmes de finale de l’Euro 2020, opposant l’Espagne à la Croatie. Le onze de départ comprend Pedri, 18 ans, qui a disputé tous les matchs du tournoi sans être remplacé. Il est de nouveau au centre du terrain et, dès le début de la rencontre, il devient le principal chef d’orchestre de la machine espagnole. Malgré son jeune âge, Pedri fait preuve d’une confiance et d’une maturité incroyables sur le terrain. Sa capacité à lire le jeu, à anticiper les mouvements de l’adversaire et à prendre des décisions rapides le place au même niveau que les plus grands maîtres du football. À chaque touche de balle, il fait preuve non seulement d’une maîtrise technique, mais aussi d’une réflexion remarquable.
Dès les premières minutes du match, les Espagnols prennent l’initiative. Pedri participe activement à la construction des attaques, ses passes sont précises et ses mouvements réfléchis. Il n’a pas peur de prendre ses responsabilités, ce qui est particulièrement important dans un match aussi tendu. Les Croates, connus pour leur milieu de terrain solide, tentent de fermer le jeu, mais Pedri semble flairer l’espace et trouver des ouvertures pour ses coéquipiers. Le premier but du match est inscrit par l’équipe espagnole, et Pedri devient l’un des principaux artisans de cette attaque. Sa passe sur le côté crée une occasion de tir, conclue par la jeune star du football espagnol. Les spectateurs sont ravis et toute l’équipe commence à croire en la victoire. Mais les Croates ne comptent pas abandonner si facilement. Ils ripostent par des contre-attaques rapides, et la tension monte sur le terrain.
La Croatie, forte de joueurs expérimentés comme Luka Modric et Ivan Rakitic, tente de reprendre le contrôle du match. Cependant, Pedri et son équipe défendent avec acharnement, puis repartent à l’attaque. Après une série de moments tendus et d’occasions pour les deux équipes, les Croates égalisent. Cet événement ajoute un brin de suspense et de passion au match. Pedri continue de mener le jeu, créant des occasions pour ses coéquipiers. Chaque passe, chaque dribble devient un élément important pour progresser vers le but adverse. Il a un excellent sens du jeu et sait quand prendre des risques et quand passer le ballon à un coéquipier plus expérimenté. Cette intuition fait de lui non seulement un joueur, mais aussi un leader sur le terrain. Outre ses qualités de joueur, il est important de souligner sa condition physique. Pedri, malgré son jeune âge, fait preuve d’une excellente endurance. Il participe activement à la défense, ne ménageant aucun effort pour aider son équipe. Cela attire l’attention des entraîneurs et des experts, qui soulignent son potentiel.
À chaque minute de jeu, la tension monte. Les deux clubs comprennent que l’issue du match peut se jouer sur un rien. Dans les dernières minutes du temps réglementaire, Pedri reçoit le ballon à l’entrée de la surface de réparation et, après quelques pas, frappe. Le ballon passe à quelques centimètres du poteau, et tout le monde se fige – le moment aurait pu être décisif. En prolongation, l’équipe espagnole démontre une nouvelle fois sa force. Pedri, comme s’il n’avait jamais connu la fatigue, continue de mener les attaques. Il trouve le chemin des filets et crée des occasions pour ses attaquants. Finalement, les Espagnols marquent le deuxième but, et le stade explose de joie. Pedri devient le héros du match, son nom est sur toutes les lèvres des supporters. Ce match restera à jamais gravé dans les mémoires, non seulement pour la victoire, mais aussi pour le jeu de ce jeune talent. Pedri démontre que l’âge n’est pas le critère principal dans le football.
Après ce but contre son camp, l’Espagne a dû se racheter. Et une fois de plus, grâce à Pedri. Il est devenu la figure centrale de chaque attaque : échanges courts, passes précises, passes pénétrantes dans la surface de réparation : tout passait par lui. C’est lui qui donnait le rythme au jeu, contrôlant le ballon avec assurance et orientant ses coéquipiers vers les bons postes. Chaque touche de balle semblait le fruit de nombreuses années d’entraînement et de travail acharné. Il possédait un sens unique des espaces, permettant à lui et à ses coéquipiers de trouver des espaces libres que l’adversaire n’avait pas le temps de concrétiser. Dans ces moments-là, il devenait évident que Pedri n’était pas qu’un simple joueur ; il était le cerveau de l’équipe, capable de gérer ses actions aux moments clés.
Les Espagnols, confiants, ont commencé à accentuer la pression sur la défense croate. Pedri a utilisé ses talents de dribbleur pour vaincre ses adversaires en un contre un, créant ainsi une supériorité numérique en attaque. Son interaction avec les attaquants est devenue un modèle de jeu collectif. Il ne se contentait pas de chercher des occasions de marquer, mais il créait aussi des espaces pour ses coéquipiers afin qu’ils puissent conclure leurs attaques. Un aspect important du jeu de Pedri résidait dans sa vision du terrain. Il était capable d’anticiper les mouvements de ses coéquipiers et de ceux de l’adversaire. Cela lui permettait d’effectuer des passes précises qui créaient des occasions dangereuses près du but adverse. Par exemple, il utilisait souvent des passes diagonales qui non seulement brisaient les lignes défensives, mais aussi mettaient en confiance les attaquants. Chacune de ses passes visait à maximiser les chances de succès de l’équipe.
Après l’égalisation, l’Espagne a poursuivi son attaque. Pedri, tel un véritable chef d’orchestre, a mené le jeu, sachant quand accélérer le rythme et quand ralentir. Sa capacité à rester calme sous la pression a donné confiance à toute l’équipe. Il était au cœur de l’action et, à chaque fois qu’il avait le ballon, le public se figeait, impatient de voir quelque chose d’exceptionnel. Malgré sa jeunesse, Pedri a fait preuve d’une maturité remarquable. Il ne s’est pas laissé perturber, même lorsque les Croates ont commencé à contre-attaquer. Il est revenu activement en défense, aidant l’équipe à gérer la pression. Cela a souligné sa polyvalence : il a non seulement créé du jeu en attaque, mais a également joué un rôle important en défense. En milieu de seconde période, Pedri était clairement la pièce maîtresse du match.
Le deuxième but est survenu après une nouvelle combinaison initiée par Pedri. Sa passe précise sur le côté a ouvert la voie à un centre, qui s’est terminé par une frappe dans la lucarne. Le stade a explosé de joie, et Pedri lui-même a souri avec réserve, sachant que son travail n’était pas terminé. L’Espagne a pris l’avantage, et il ne lui restait plus qu’à conserver son avantage. En réponse, les Croates ont multiplié les attaques. Pedri, cependant, n’a pas perdu sa concentration. Il a continué à faire preuve d’une excellente compréhension avec les défenseurs, les aidant dans les moments difficiles. Son jeu défensif méritait également d’être salué : il n’avait pas peur de se battre pour le ballon, faisant preuve d’un véritable esprit d’équipe.
Après le coup de sifflet final, les supporters du monde entier l’ont acclamé. Pedri a passé 120 minutes sur le terrain à un rythme effréné. Selon les statistiques, il a couru 16,1 kilomètres, soit plus que tout autre joueur en un seul match de l’Euro 2020. Ce chiffre témoigne non seulement de sa forme physique, mais aussi de son dévouement sans faille au jeu et à l’équipe. Chaque pas de Pedri sur le terrain reflétait son énergie inépuisable et son désir de victoire. Il ne se contentait pas de courir, il créait des moments décisifs, chacun pouvant décider de l’issue du match. Sa mobilité incessante et sa participation active aux actions offensives ont fait de lui un véritable moteur de l’équipe. Il était infatigable dans ses tentatives de trouver le ballon et d’aider ses coéquipiers.
Après le match, les journalistes et les experts du football n’ont pas pu contenir leur enthousiasme face à son jeu. « Pedri est l’avenir du football espagnol », ont-ils déclaré, soulignant ses qualités exceptionnelles. Lors des interviews, il a partagé avec modestie ses impressions sur le match, mettant l’accent sur le jeu collectif et le soutien de ses coéquipiers. « C’était un travail d’équipe », a-t-il déclaré. « J’ai juste essayé d’aider autant que possible. » Sa performance fut une révélation lors du tournoi. Beaucoup le comparèrent à des légendes comme Andrés Iniesta et Xavi Hernandez, qui furent également des figures emblématiques de l’équipe nationale espagnole à leur époque. Pedri, malgré son jeune âge, avait déjà démontré qu’il était capable d’assumer des responsabilités à un tel niveau. Sa confiance sur le terrain attira l’attention des entraîneurs et des recruteurs du monde entier.
